• Was essen die Deutschen ?

     

    La cuisine germanique possède injustement une mauvaise réputation car elle est très méconnue.
    Dans les pays germaniques, la cuisine est au contraire savoureuse et variée.


    Das Brot : le pain : Allemagne = paradis de la boulangerie : 300 sortes de pains et 1200 pâtisseries dérivées.

    Consommation annuelle de pain en Allemagne : 85 kg/habitant

    95 % des Allemands consomment très régulièrement du pain et surtout du pain artisanal (à 70-75%)

    Consommé au moins deux fois par jour : au petit déjeuner et au dîner.

    Aliment au caractère sacré car beaucoup d’Allemands ont manqué de pain durant la seconde guerre mondiale.

    Les sortes de pains les plus courantes :

    Weiβbrot : pain blanc

    Schwarzbrot : pain noir

    Vollkornbrot : pain complet

    Pumpernickel pain noir de Westpahlie

    βe Rosinenbrot : pain aux raisins

    βe Milchbrot : pain au lait

    Brötchen : petits pains (surtout dégustés au petit déjeuner) agrémentés de beaucoup de choses comme des graines de pavot (Mohnbrötchen), des graines de sésame (Sesambrötchen), des oignons (Zwiebelbrötchen), du fromage (Käsebrötchen), du jambon (Schinkenbrötchen), du lard (Speckbrötchen). Dans le sud du pays, les Brötchen sont nommés Semmel.

     

    Die Kartoffeln : La pomme de terre : objet d’un véritable culte de la part des Allemands. Ils lui ont d’ailleurs consacré un musée entier à Munich et ils lui ont donné des noms de femmes : Maritta, Linda, Selma, Sieglinde, Christa, Gloria, Solara, etc….
    Roi de Prusse Friedrich a déclenché cet engouement pour la pomme de terre qui est au menu depuis le XVIIIe siècle.

     

    Ainsi, on les consomme en salade (Kartoffelsalat), en purée, en frites, ou bien on les fait sauter dans la poêle pour les transformer en « Bratkartoffeln » délicieuses, accompagnées par exemple d’une délicieuse sauce au fromage blanc et aux herbes.

    À Berlin, elle est servie avec du lard et du saucisson, dans le Palatinat avec du céleri et de la crème, en Rhénanie, on la préfère froide avec de la mayonnaise tandis que dans le Bade-Wurtemberg elle doit être servie tiède, arrosée de vinaigre avec des oignons. A Cologne, on l’associe avec la pomme-fruit et le boudin pour le plat local par excellence : le « Himmel und Äad ».

     

    Der Kohl : autre légume particulièrement apprécié dans les pays germaniques : le chou. Presque plat national. Se  cuisine de toutes sortes de façons. Rouge ou blanc : en salade, en plat principal, chou farci ou pour accompagner saucisses et viande de porc. Également dans la choucroute (Sauerkraut), même si ce plat est moins présent dans ces pays qu’on ne  le croit.

    Die Wurst : Chaque région revendique « sa » saucisse. Origine de la saucisse ne date pas d’hier. Dès le Moyen-Age, on commence à citer les noms de « Göttinger » ou de « Regensburger », qualificatifs prestigieux, s’il en est, des saucisses germaniques aujourd’hui « historiques ».

    De même dans les boucheries, il n’est pas rare de trouver un coin-dégustation, fort sympathique, on l’on pourra, en plus de la saucisse, savourer toutes sortes de cochonnailles

     


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